Voici des images choquantes. Cette jeune mère, Stephanie Littlewood de Leeds, n’est âgée que de 32 ans et son conjoint l’a presque battue à mort car elle refusait de faire l’amour.
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Il lui a brisé la mâchoire, lui a fait de sévères ecchymoses et l’a même étranglée.Mère d’un enfant, elle a partagé des photos d’elle sur son lit d’hôpital en avril, après que son conjoint, Hoban, l’ait rendue inconsciente. Il est en prison pour 16 mois.En état d’ébriété, il est entré dans un tel état de fureur qu’il l’a frappée entre 40 et 50 fois.
« En avril, mon conjoint Wayne Hoban a failli me tuer en me frappant. Il a fait le con toute la soirée et voulait du sexe, mais parce que je me refusais, il s’est fâché et est devenu agressif, » dit-elle.« Il m’a balancée sur le lit et m’a laissée en larmes avant de s’en aller. Après il m’a attrapée par la cheville pour me tirer du lit. » « Il m’a jetée au sol, s’est assis sur moi et m’a étranglée pour que je ne bouge pas avant de me frapper 40 ou 50 fois. »Il lui a fait tomber trois de ses dents et brisé la mâchoire.
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« Il m’a fait sombrer dans l’inconscience et a continué de me battre. »Emmenée à l’hôpital, on craignait que l’attaque brutale lui laisse des dommages au cerveau.Elle raconte aussi à quel point elle a subi des dommages psychologiques après cette violence abusive.« Tous les jours je fais face à ce qu’il m’a fait. Chaque fois que je brosse mes dents, je me regarde dans le miroir et vois ce qu’il a fait. Ses coups ont fait dévier mes dents vers la gauche, le trou laissé n’est même pas assez grand pour une dent.
Je ne voulais pas sortir, il a détruit ma confiance en moi. Je lutte et j’ai failli craquer. Les gens me disaient que je ne pouvais pas me cacher et que ce n’était pas ma faute, j’ai commencé à réaliser qu’ils avaient raison. »Depuis, elle a décidé de parler de son vécu. « Je veux prévenir les femmes, leur dire quel genre de monstre il est. Je n’ai pas à avoir honte, il devrait avoir honte. Je ne me cache pas. »
Passé devant la cour de Leeds mercredi dernier pour des accusations de blessures graves, il a plaidé coupable à de moins graves accusations pour coups et blessures, recevant une sentence de 16 mois de prison. Après avoir passé six mois en cellule, il est admissible à une libération conditionnelle après huit mois d’emprisonnement et Stephanie craint qu’il ne soit donc libéré dans deux mois.
« Je continuerai de souffrir alors qu’il sera libre, » dit-elle à propos de cette sentence.
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