C'est une histoire riche en émotions. Lorsque vous aurez terminé de la lire, un mélange d'émotions va s'emparer de vous, un mélange d'émotions oscillant entre la haine et la compassion.
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L'histoire a été publiée par une prénommée Jennifer, elle a publié le tout sur Facebook, mais j'ai pris la peine de vous traduire le tout si vous ne parlez pas anglais. Voici donc une capture d'écran de ce qu'elle a publié, une traduction suit l'image.
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Traduction: Ma fille n'a pas vu son père biologique depuis qu'elle a quatre ans. Elle a maintenant onze ans. Lorsqu'elle avait deux ans, il m'a contacté afin de savoir s'il pouvait mettre fin à son droit parental et ainsi arrêter de payer une pension, j'étais d'accord. Je voulais lui épargner tout le mal qu'elle aurait et le sacrifice de la pension valait la peine de ne jamais le voir lui faire de la peine à nouveau. Je n'ai jamais menti à ma fille à propos de qui il était et où il est parti... je toujours répondu à ses questions de la manière la plus appropriée pour l'âge qu'elle avait. Lorsqu'elle avait quatre ans, il m'a contacté et m'a dit qu'il a été diagnostiqué avec un cancer et qu'il aimerait la voir. Je lui ai donc donné une date et nous nous sommes rencontrés dans un parc. Il avait demandé 2 heures, mais au bout de 20 minutes il a quitté. Nous n'avons jamais entendu parler de lui par la suite.
Il y a quelques semaines, nous sommes tombés sur une connaissance commune qui a commenté à quel point ma fille ressemblait aux autres enfants de mon ex-mari. Ils ont élaboré sur le fait qu'il s'est trouvé un but dans la vie et qu'il a une famille maintenant. Mon estomac s'est serré et j'ai immédiatement pensé à quel point ça devait être pénible pour ma fille d'entendre ça. J'ai mis fin à la conversation et nous sommes embarquées dans la voiture, prêtes à partir, puis je l'ai vue sourire. Elle m'a dit :"Maman, il a enfin compris comment être un papa. C'est tellement une belle chose. Je suis contente pour ses enfants." C'est ce jour là que j'ai appris tout ce que je devais savoir sur le pardon, grâce à un enfant de 11 ans.
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